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Hello!

Je suis Florence, 48 ans, couturière amatrice depuis plus de 20 ans, j’adore écrire mes aventures de couture sur mon blog et mon fil instagram, je cherche à coudre une garde-robe raisonnée et raisonnable (et j’y parviens de mieux en mieux), le choix des matières premières est l’une de mes premières préoccupations, pour l’environnement…

Voici comment j’en arrive” à avoir le plaisir d’être invitée à parler des tissus Mars-elle.com.”

Faire un recensement pour mieux comprendre

M’inviter à parler de Mars’elle, des tissus Mars’elle et de ma relation avec eux, c’est me lancer sur une piste de pipelette couturière infinie. A tel point que je ne savais par où commencer.

Alors, j’ai commencé par la fin : recenser tous mes projets cousus avec un tissu Mars’elle, pour voir ce que ça racontait.

Je précise que je n’ai recensé ici que les VÊTEMENTS cousus POUR MOI : ces tissus se glissent tellement facilement au cœur d’un patchwork, pour une petite attention, un accessoire, un furoshiki et aussi… dans les sous-vêtements (j’ai souhaité vous épargner mes culottes et mes finettes si pratiques mais peu photogéniques), la liste de mes réalisations « avec du Mars’elle dedans » n’aurait plus eu de limites.

Ce que ça raconte, alors ?

Sur les quatorze projets, onze sont portés, reportés, re-reportés  et un seul (le plus ancien, ma blouse Sofia de début 2018), montre des signes de fatigue, lié à sa forme (l’encolure cache-cœur ne tient pas joliment en place). Je tiens à préciser que seuls 5 d’entre eux sont bleus (réputation de « Madame Bleue » surfaite. A peine. Non ?).

La recette pour coudre des vêtements préférés


En rédigeant ces mots, je porte encore ma tunique-sweat jaune si lumineuse. Pour les trois autres, inutile de m’étendre trop : qui une erreur de casting couleurs (la robe devenue depuis sweat turquoise, tissu pas prévu pour moi, j’aurais pas dû forcer, ça ne me va pas au teint), qui un match moyen tissu-projet (ma Jude, en popeline, pas le meilleur choix), et j’ai compté ici ma robe jaune du printemps dernier, qui a pâti du mauvais (prin)temps 2021, on verra cette année si elle sort plus souvent, en tout cas : rien à voir avec le tissu, bien au contraire !

Et j’ai beau pratiquer sagement chaque saison un petit « Marie-Kondo tri », ces tissus me rendent tellement heureuses malgré tout que… je garde ces vêtements (et les porte de temps en temps).

Ce que je constate ici, c’est que la majorité de mes réalisations en Mars’elle est devenue un vêtement préféré. Adaptés à ma vie, adaptés à ce que j’aime porter, originaux ET portables, colorés, lumineux, je constate que ces tissus me motivent à tenter des trucs (le hack devenu ma robe d’été préférée, ou comment me lancer dans un coup de ciseaux hussardesque qui réussit ou la dernière blouse détournée en jersey avec des manches lonnnnngues comme j’aime), et que j’ai un plaisir énorme à les travailler, à leur associer un patron puis à les porter :

Ils me rendent particulièrement fière, me donnent de la force quand je les enfile et, généralement, m’attirent beaucoup de compliments (cerise on the cake) !

Motifs ou Unis?

Je me réjouis parce qu’à ce jour, il me reste deux coupons dans mon stock : une flanelle bleue (j’ai craqué pour la matière, sans projet et je n’arrête pas d’en changer, de projet) et un sweat velours (acheté avec un projet précis mais j’hésite tellement, au final, que je n’ai encore rien tenté)… Bizarrement, zéro motif, bizarrement, pas encore cousus… Devrais-je y voir un signe ?

Pas sûre : je suis heureuse de pouvoir trouver des tissus écologiques unis pour diversifier ma garde-robe avec quelques sûrs basiques mais…

Mars’elle x Florence

Le charme de Mars’elle, ce qui me fait craquer si fréquemment, c’est indéniablement son style, qui ainsi participe au mien !

Ce qui m’a fait tomber en amour des tissus Mars’elle lorsque je suis (aussi) tombée dessus par hasard en 2018, c’est l’association « motifs originaux, couleurs lumineuses, tissus agréables  et faciles à porter » et « valeurs écologiques portées haut et fort ». En 2018, réunir ces deux axes de ma recherche encore balbutiante était vraiment une gageure sans tomber dans le motif « mignon mais enfantin ».

Mars’elle fait preuve de pédagogie, et j’ai beaucoup appris ces dernières années en suivant ses réseaux sociaux, non seulement sur les mariages tissus/projets mais aussi sur l’impact écologique des tissus, leur production, ce qui se cache derrière. Ça m’a fait grandir sur mes choix, ça m’a accompagné (et m’accompagne encore) sur le chemin de la transition vers une couture (et aussi une garde-robe) raisonnée et réellement plus écologique.

Ce qui me fait continuer à acheter ses tissus, c’est que Mars’elle est écologique aussi dans la démarche, joyeusement jusqu’auboutiste sans baster sur rien malgré les difficultés ou la concurrence, et je suis heureuse de pouvoir continuer à soutenir Rebecca dans son projet : notre porte-monnaie est une manière de voter et si on peut se faire plaisir en même temps, qui peut trouver une seule raison de se priver ?

L’énergie et la personnalité de Rebecca-Mars’elle, attachante, dynamisante, énergique et transmetteuse d’énergie, créative, résolument positive et dans l’échange, se ressentent dans les tissus et tout ça infuse jusqu’aux coutures réalisées, un sacré bonus par les temps qui courent, de savoir qui est « derrière la matière », derrière notre choix d’achat.

Je vous avais dit que j’étais pipelette quand on me lançait sur Mars’elle ??

Découvrez l’univers couture complet de Florence sur :

  • Son blog (avec sa plume de pipelette et son énergie communicative ) : www.pasapaslechemin.com
  • Son instagram (la vraie vie d’une couturière passionnée avec un peu de broderie, un soupçon de lecture et une tonne de bonnes ondes) : @pasapaslechemin
Mars'elle

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